zeit.zellen (2002-2015) – Susanne Mueller Nelson

zeit.zellen (2002-2015)

une installation ambulatoire

Idée, concept, gestion de la production, chorégraphie Susanne Mueller Nelson
Installation Ruedy Schwyn
Danse Susanne Braun, Kosmas Kosmopoulos, Mickael Henrotay Delaunay, Tekeal Riley, Angela Stöcklin
Musique Jalalu-Kalvert Nelson
Éclairage Clovis Inocencio, Stephan Haller

Soutenu par : Ville de Bienne, Canton de Berne (contribution à la production et à la reprise), Ville de Berne, Fondation Sophie et Karl Binding, Burgergemeinde Bern, Fondation Ernst Göhner, Migros Aare, Fondation Swiss Performers, Lions Club Biel, ADN Neuchâtel, Ville de Baden, Ville de Zurich.

Durée 65 min

zeit.zellen a été créé en 2002 et, grâce à une subvention du canton de Berne, a été relancé pour le développement des œuvres existantes. La nouvelle version est plus cohérente, plus complexe, plus personnelle et est dansée par une équipe expérimentée.

zeit.zellen est réalisé dans une installation (Ruedy Schwyn) de cloisons mobiles. Le public est libre de se promener et de choisir sa propre perspective. Le public devient ainsi partie prenante de l’action et de la chorégraphie en se déplaçant, en se tenant debout, en s’asseyant, en s’allongeant.

Susanne Mueller Nelson utilise l’installation symboliquement simple comme un champ d’expérimentation pour réfléchir à l’espace et au temps, à la façon dont l’espace influence les gens et à la façon dont les gens se comportent dans l’espace et le modifient.

Nous voyons des espaces individuels dans lesquels se développent des univers personnels. Des gestes réduits et des mouvements répétitifs déterminent l’action et prennent de plus en plus de place au fur et à mesure que la pièce progresse. La forme et la mobilité de l’installation conduisent à une agogique d’attraction et de répulsion, de rétraction et d’expansion, de condensation et de dissolution.

D’une part, la pièce dégage un calme méditatif qui nous invite à prendre le temps de regarder et de voir. En revanche, ce calme est interrompu à plusieurs reprises par des séquences dynamiques et pulsées qui ressemblent davantage à une attraction à laquelle il est difficile d’échapper.

Nous avons ce désir de liberté, mais nous nous limitons souvent. Dans quelle mesure les structures sont-elles nécessaires à la vie, dans quelle mesure entravent-elles notre développement ? Avons-nous le choix ? Ou bien nous reste-t-il seulement la contemplation du néant ?

Commentaire de presse Bieler Tagblatt

« Dix images fascinantes et engageantes ont émergé de cette étude, qui pourrait recommencer à l’infini comme une boucle sans fin. » Der Bund « Le public est imperceptiblement et inévitablement attiré par l’atmosphère intense.

Tournée Bienne (Centre Pasquart), Berne (Dampfzentrale), Neuchâtel (ADN), Baden (ma), Zurich (HGKZ), La Chaux-de-Fonds (Festival Antilope).

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